La sexualité, quelle qu’en soit sa forme, est de moins en moins pratiquée chez la plupart des Américains. Les chiffres sur l’absence d’activité sexuelle chez ces derniers sont aussi surprenants les uns que les autres.
Cette absence de pratiques sexuelles est causée par plusieurs facteurs caractéristiques de la décennie actuelle. Découvrez dans cet article pourquoi les Américains font de moins en moins l’amour.
Raisons d’une sexualité moins importante chez la jeune population américaine
Plusieurs facteurs affectent la sexualité de la jeune population américaine. Ainsi, les différentes activités sexuelles auxquelles elle s’adonnait auparavant sont de moins en moins prises en considération. La dernière décennie a vu en réalité beaucoup d’événements se succéder entre eux. Du phubbing à la situation sanitaire causée par la Covid-19 au stealthing, il est évident que la vie sexuelle ne soit plus épanouie comme avant.
D’autres éléments sont également à l’origine du manque d’activité sexuelle chez la population américaine. Entre autres, il y a :
- L’utilisation des nouvelles technologies offrant des expériences sexuelles variées ;
- le stress financier ;
- la consommation des substances toxiques par les jeunes les poussant à être des asexuels.
- Le gaming.
Enfin, le développement des activités sexuelles brusques comme les étouffements, les étranglements, les frottements douloureux, ou encore le stealthing, sont aussi à la base de ce manque d’activité sexuelle. En fait, les pratiques brutales associées au plaisir charnel (souvent en provenance de la pornographie) a des effets repoussoirs sur le degré du plaisir sexuel.
Des chiffres plus surprenants les uns que les autres
La sexualité fait partie intégrante de notre vie. Non seulement, il serait très difficile pour un individu de perdre totalement sa libido, mais elle motive nos relations et nos actions. Pour autant, si elle est nécessaire et vitale pour des personnes, ce n’est pas toujours le cas chez d’autres dans leurs pays. Selon une enquête américaine, de multiples facteurs seraient la cause du manque d’activité sexuel chez ces derniers à l’instar du développement des pratiques sexuelles « brutales ».
Sexualité: 10 fois moins qu’il y a 10 ans
Au cours de l’année 2009, 28.8% de jeunes Américains de 14 à 17 ans n’ont eu à pratiquer aucune activité sexuelle, y compris la masturbation. Mais au cours de l’année 2018, ce pourcentage de non-pratique d’activité sexuelle a augmenté de 15.4%. Autrement dit, au cours de l’année 2018 en Amérique chez les hommes, 44.2% n’ont pas eu d’activité sexuelle, quelle que soit la forme.
Chez les jeunes Américaines, le pourcentage est encore plus considérable. En fait, en 2019, 74% ont déclaré n’avoir pas eu d’activité sexuelle quelconque, ce qui n’a pas été le cas en 2009 où c’était seulement 49.5 % qui ne pratiquaient pas d’activité sexuelle.
La jeune population américaine fait état de 4.32 rapports sexuels de nature pénétration vaginale par an. En comparaison, il est clair que c’est 10 fois de moins qu’il y a 10 ans.
Les adultes sont aussi dans la tendance
Les adultes américains sont tout aussi dans la tendance pour ce qui est de l’abstinence en matière d’activité sexuelle. Ainsi, en 2018, 28% de ces adultes ont admis ne pas avoir eu de rapport sexuel surtout de type brutal. D’ailleurs, pas plus tard que l’année surpassée, l’université de Chicago a précisé qu’un tiers des hommes américains de 18 à 24 ans n’avaient pas eu d’activité sexuelle au cours de l’année.
Pour le magazine Usbek & Rica, il ne s’agit pas d’un cas isolé, plusieurs pays sont concernés par cette absence d’activité sexuelle. Selon ce magazine, que ce soient les Allemands, les Australiens ou les Japonais, … Les jeunes comme les adultes sont de plus en plus abstinents.
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